Qui Sommes-nous ?

Nos missions

Les missions de L214 s’articulent autour de 3 axes étroitement liés et imbriqués, qui touchent à la fois les citoyennes et citoyens, les politiques et les entreprises :

Chaque année, plus de 1 000 milliards d’animaux terrestres et aquatiques sont mis à mort dans le monde pour la production de viande, lait, œufs et poissons. Ils représentent 99 % des animaux exploités. Rien qu’en France, plus de 3,2 millions d’animaux terrestres et aquatiques sont tués chaque jour dans les abattoirs. Plus de 8 sur 10 viennent d’élevages intensifs (sans accès à l’extérieur). Lanceuse d’alerte, L214 s’est donné pour mission de réduire et supprimer autant que possible les souffrances de ces animaux.

L’urgence est de mettre fin aux pratiques qui leur infligent le plus de souffrances, telles que l’élevage intensif, les mutilations, les longs transports ou encore certains modes d’abattage. À plus long terme, L214 souhaite que notre société invente et instaure une cohabitation pacifique avec les animaux, ce qui implique l’arrêt de l’élevage, de la pêche et de l’abattage.

1.

Soulever la question animale auprès des citoyens et dans le débat public

  • En informant les citoyens sur les pratiques d’élevage, de transport et d’abattage des animaux au moyen d’enquêtes documentées et d’informations sourcées.
  • En nourrissant le débat public sur l’exploitation animale et en interrogeant dans les sphères médiatique, politique, académique et citoyenne la légitimité de maltraiter ou tuer les animaux à des fins alimentaires.
2.

Faire reculer les pires pratiques d’élevage, de transport et d’abattage

  • En conduisant les acteurs de l’agro-industrie à exclure les pratiques les plus préjudiciables aux animaux de leurs chaînes de production et d’approvisionnement.
  • En portant la voix des citoyens auprès des élus et des décideurs pour interdire ces pratiques par l’adoption de réglementations.
  • En agissant en justice pour faire condamner les pratiques contraires à la réglementation en matière d’élevage, de transport ou d’abattage des animaux.
3.

Promouvoir l’alimentation végétale pour réduire le nombre d’animaux tués

  • En mobilisant les professionnels et les élus pour favoriser l’accès aux alternatives végétales dans la restauration et la grande distribution.
  • En accompagnant l’évolution alimentaire par la mise à disposition de conseils pratiques et par la diffusion des connaissances en matière de nutrition.