Abattoir de Maurienne
Égorgés conscients, découpés vivants
1/ Fermons cet abattoir
2/ Demandons un audit généralisé des abattoirs
Cette nouvelle enquête montre les conditions de mise à mort catastrophiques des animaux à l’abattoir de Maurienne à Saint-Étienne-de-Cuines en Savoie.
L214 porte plainte pour actes de cruauté et mauvais traitements sur 10 manquements graves identifiés au cours des 10 jours d’abattage filmés entre le 29 août et le 1er octobre 2024.
Les images montrent :
- des vaches et des moutons égorgés conscients malgré l’étourdissement ;
- des animaux encore en vie au moment de la découpe ;
- des moutons qui voient leurs congénères se faire tuer ;
- des moutons manipulés avec brutalité.
Face à la gravité de ces infractions, demandons au préfet de la Savoie et à la ministre de l’Agriculture la fermeture immédiate de cet abattoir.
Par ailleurs, demandons à la ministre de l’Agriculture de réaliser un audit généralisé des abattoirs en France pour faire un état des lieux des conditions d’abattage. Les rapports d’inspection issus de cet audit devront être rendus publics.
Destinataires :
Annie Genevard, ministre de l’Agriculture
François Ravier, préfet de la Savoie
Merci d'avoir signé la pétition !
Abattoir de Maurienne : Égorgés conscients, découpés vivants
Abattoir de Maurienne : égorgés conscients, découpés vivants
Abattoir de Maurienne : égorgés conscients, découpés vivants
L’abattoir de Maurienne, situé à Saint-Étienne-de-Cuines en Savoie, est dirigé notamment par le président d’Interbev de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Les animaux sont tués encore sensibles et conscients, et certains sont découpés alors qu’ils sont encore vivants. Des animaux sont manipulés avec brutalité avant leur mise à mort.
Cet abattoir fournit les magasins Super U, Intermarché et E.Leclerc du département, et des boucheries locales. La viande est aussi vendue en direct dans les élevages où ont été élevés les animaux.
L214 porte plainte pour actes de cruauté et mauvais traitements sur 10 manquements graves identifiés au cours des 10 jours d’abattage filmés entre le 29 août et le 1er octobre 2024. Les éleveurs clients de l’abattoir peuvent se porter partie civile, et si besoin contacter L214 : [email protected].
L'association demande à Annie Genevard, ministre de l’Agriculture, de réaliser un audit généralisé des abattoirs. Les rapports d’inspection issus de cet audit devront être rendus publics. Par ailleurs, L214 demande à la ministre et au préfet de la Savoie, la fermeture de cet abattoir.
1/ Fermons cet abattoir
2/ Demandons un audit généralisé des abattoirs
Cette nouvelle enquête montre les conditions de mise à mort catastrophiques des animaux à l’abattoir de Maurienne à Saint-Étienne-de-Cuines en Savoie.
L214 porte plainte pour actes de cruauté et mauvais traitements sur 10 manquements graves identifiés au cours des 10 jours d’abattage filmés entre le 29 août et le 1er octobre 2024.
Les images montrent :
- des vaches et des moutons égorgés conscients malgré l’étourdissement ;
- des animaux encore en vie au moment de la découpe ;
- des moutons qui voient leurs congénères se faire tuer ;
- des moutons manipulés avec brutalité.
Face à la gravité de ces infractions, demandons au préfet de la Savoie et à la ministre de l’Agriculture la fermeture immédiate de cet abattoir.
Par ailleurs, demandons à la ministre de l’Agriculture de réaliser un audit généralisé des abattoirs en France pour faire un état des lieux des conditions d’abattage. Les rapports d’inspection issus de cet audit devront être rendus publics.
Destinataires :
Annie Genevard, ministre de l’Agriculture
François Ravier, préfet de la Savoie
Stop à cette cruauté : signez la pétition
Merci pour votre signature !
Ces agneaux là-bas, ils sont trop mignons, [...] vaut mieux pas trop les regarder.
L’abattoir de Maurienne, situé à Saint-Étienne-de-Cuines en Savoie, est dirigé notamment par le président d’Interbev de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Les animaux sont tués encore sensibles et conscients, et certains sont découpés alors qu’ils sont encore vivants. Des animaux sont manipulés avec brutalité avant leur mise à mort.
Cet abattoir fournit les magasins Super U, Intermarché et E.Leclerc du département, et des boucheries locales. La viande est aussi vendue en direct dans les élevages où ont été élevés les animaux.
L214 porte plainte pour actes de cruauté et mauvais traitements sur 10 manquements graves identifiés au cours des 10 jours d’abattage filmés entre le 29 août et le 1er octobre 2024. Les éleveurs clients de l’abattoir peuvent se porter partie civile, et si besoin contacter L214 : [email protected].
L’association demande à Annie Genevard, ministre de l’Agriculture, de réaliser un audit généralisé des abattoirs. Les rapports d’inspection issus de cet audit devront être rendus publics. Par ailleurs, L214 demande à la ministre et au préfet de la Savoie, la fermeture de cet abattoir.
Des infractions aux lourdes conséquences pour les animaux
Des animaux égorgés encore sensibles et conscients
Après l’étourdissement ou après la saignée, des vaches et des moutons présentent des signes de conscience. La plupart d’entre eux se débattent. Aucun test de l’état d’inconscience n’est réalisé.
Des animaux découpés encore vivants
Des moutons et des vaches présentent des signes de vie (mouvements de la patte arrière) lors de la découpe primaire, alors qu’à ce stade les animaux devraient être morts.
Des animaux manipulés avec brutalité
Dans la zone d’attente ou d’acheminement vers l’étourdissement, des moutons sont retournés sur le dos, leur queue est tordue, certains sont tirés par les cornes, on peut aussi entendre des insultes.
Des animaux voient leurs congénères se faire tuer
Les animaux ne devraient avoir aucune vue sur leurs congénères en train de se faire saigner ou déjà abattus, pourtant tous les moutons voient les autres se faire tuer.
Des installations inadaptées
Les installations permettant une contention des veaux (box) et des moutons (restrainer) ne sont pas conformes : les animaux tentent de se retourner, de s’échapper…
Vidéo brute de 27 minutes (extraits)
Cette vidéo montre une partie des infractions relevées à l’abattoir de Maurienne. L’intégralité des infractions a été regroupée dans une vidéo d’une durée de 3 h 30 qui a été déposée à la justice.
Après l’étourdissement ou après la saignée, des vaches et des moutons présentent des signes de conscience. La plupart d'entre eux se débattent. Aucun test de l'état d'inconscience n'est réalisé.
Des moutons et des vaches présentent des signes de vie (mouvements de la patte arrière) lors de la découpe primaire, alors qu’à ce stade les animaux devraient être morts.
Dans la zone d'attente ou d'acheminement vers l'étourdissement, des moutons sont retournés sur le dos, leur queue est tordue, certains sont tirés par les cornes, on peut aussi entendre des insultes.
Les animaux ne devraient avoir aucune vue sur leurs congénères en train de se faire saigner ou déjà abattus, pourtant tous les moutons voient les autres se faire tuer.
Les installations permettant une contention des veaux (box) et des moutons (restrainer) ne sont pas conformes : les animaux tentent de se retourner, de s'échapper...
Cette vidéo montre une partie des infractions relevées à l'abattoir de Maurienne. L'intégralité des infractions a été regroupée dans une vidéo d'une durée de 3 h 30 qui a été déposée à la justice.
Après l’étourdissement ou après la saignée, des vaches et des moutons présentent des signes de conscience. La plupart d'entre eux se débattent. Aucun test de l'état d'inconscience n'est réalisé.
Des moutons et des vaches présentent des signes de vie (mouvements de la patte arrière) lors de la découpe primaire, alors qu’à ce stade les animaux devraient être morts.
Dans la zone d'attente ou d'acheminement vers l'étourdissement, des moutons sont retournés sur le dos, leur queue est tordue, certains sont tirés par les cornes, on peut aussi entendre des insultes.
Les animaux ne devraient avoir aucune vue sur leurs congénères en train de se faire saigner ou déjà abattus, pourtant tous les moutons voient les autres se faire tuer.
Les installations permettant une contention des veaux (box) et des moutons (restrainer) ne sont pas conformes : les animaux tentent de se retourner, de s'échapper...
Cette vidéo montre une partie des infractions relevées à l'abattoir de Maurienne. L'intégralité des infractions a été regroupée dans une vidéo d'une durée de 3 h 30 qui a été déposée à la justice.
Historique de l'enquête
Le préfet de la Savoie a ordonné la fermeture de l'abattoir de Maurienne.
La procureure de la République du tribunal judiciaire d'Albertville a ouvert une enquête judiciaire.
L214 entame un recours contre l'État pour manquement à sa mission de contrôle vétérinaire.
L214 publie une enquête sur l'abattoir de Maurienne (Savoie).
L214 porte plainte contre l'abattoir pour actes de cruauté et mauvais traitements auprès de la procureure de la République du tribunal judiciaire d'Albertville.
L214 demande au préfet de la Savoie et à la ministre de l'Agriculture la fermeture immédiate de l'abattoir.
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