Le groupe LDC (connu pour ses marques Le Gaulois, Maître CoQ, Marie, Loué) a racheté la marque Doux en 2018, dont les produits ont disparu des rayons en France. L214 publie une enquête sur ces poulets désormais destinés à l’exportation, et dénonce les mensonges des publicités en arabe qui vantent leur bien-être en élevage.
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LDC transforme du soja OGM du Brésil en viande congelée pour l’Arabie Saoudite, au prix de grande souffrances pour les animaux.
LDC transforme du soja OGM du Brésil en viande congelée pour l’Arabie Saoudite, au prix de grandes souffrances pour les animaux.
Le soja OGM est interdit à la culture depuis 2008 en France. Mais la France continue d’importer 3,5 millions de tonnes de soja chaque année, en grande partie pour l’alimentation des animaux d’élevage, et le Brésil (où 95 % de la culture de soja est OGM) est le premier fournisseur de soja de la France... La culture du soja est la principale cause de déforestation en Amérique latine.
Les poulets de cet élevage breton sont élevés en bâtiment toute leur vie sans accès à l’extérieur. Le bâtiment est infesté de ténébrions (de petits insectes). Ils transmettent aux oiseaux la maladie de Gumboro, reconnaissable à ce symptôme du cou tordu. Les animaux malades sont laissés sans soins, à l'agonie.
L’élevage fournit l’abattoir France Poultry de Châteaulin. Les poulets sont destinés à être abattus puis congelés pour être exportés vers les pays de la péninsule arabique, et particulièrement l’Arabie saoudite.
Le soja OGM est interdit à la culture depuis 2008 en France. Pourtant, la France continue d’importer 3,5 millions de tonnes de soja chaque année.
Le Brésil (où 95 % de la culture de soja est OGM) est le premier fournisseur de soja de la France.
La culture du soja est la principale cause de déforestation en Amérique latine.
Les poulets de cet élevage breton sont élevés en bâtiment toute leur vie sans accès à l’extérieur. Le bâtiment est infesté de ténébrions (de petits insectes). Ils transmettent aux oiseaux la maladie de Gumboro, reconnaissable à ce symptôme du cou tordu. Les animaux malades sont laissés sans soins, à l’agonie.
L’élevage fournit l’abattoir France Poultry de Châteaulin. Les poulets sont destinés à être abattus puis congelés pour être exportés vers les pays de la péninsule arabique, et particulièrement l’Arabie saoudite.
Les poulets de cet élevage breton sont élevés en bâtiment toute leur vie sans accès à l’extérieur. Le bâtiment est infesté de ténébrions (de petits insectes). Ils transmettent aux oiseaux la maladie de Gumboro, reconnaissable à ce symptôme du cou tordu. Les animaux malades sont laissés sans soins, à l’agonie.
La distribution de la marque Doux est assurée par le groupe saoudien Almunajem pour les pays du Golfe. Les publicités en arabe de la marque Doux mettent en avant le savoir-faire français. On voit des poulets en plein air, qui font de l’exercice et du yoga. À l’intérieur de l’élevage, des poulets sont mis en scène comme dans un salon de coiffure, pendant que d’autres sont en train de se faire masser.
Le poulet qui fait la narration affirme : « Dans les fermes Doux, nous offrons les meilleures conditions d’élevage ».
Pour fournir de la viande de poulets au marché Saoudien, en 2018, le groupe LDC s’est associé à la région Bretagne, aux coopératives Terrena et Eureden (Triskalia) et au groupe saoudien Almunajem.
Aujourd’hui, Terrena n’est plus impliquée dans Yer Breizh.
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24 avril 2023
L214 révèle une enquête sur des poulets d’un élevage intensif breton destinés à être abattus en France puis exportés vers les pays du Golfe
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L214 souhaite que notre société reconnaisse que les animaux ne sont pas des biens à notre disposition et que leurs intérêts méritent notre considération.
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Derrière les publicités Le Gaulois, Maître Coq, ou Marie se cache une triste réalité : des poulets enfermés toute leur vie en bâtiment, sans accès à l’extérieur. Ils vivent à même leur litière, gorgée de déjections, sans qu’elle ne soit nettoyée ni changée. Déplumés et souvent malades, de nombreux poulets ne survivent pas à ces conditions d’élevage.
LDC, leader de la cruauté depuis 1970
Le n°1 français du poulet — le groupe LDC —, a une grande responsabilité dans les souffrances que subissent les poulets. Propriétaire des deux premières marques de volailles en France (Le Gaulois et Maître Coq) qui comptent pour 40% du marché, ainsi que de la principale marque de plats cuisinés (Marie), LDC élève et abat chaque année des centaines de millions de poulets.
Tous les acteurs de la grande distribution tels que Carrefour, Lidl, Intermarché ou encore Aldi se sont engagés à respecter les critères minimums définis par l’ECC (European Chicken Commitment) et à garantir une part minimale d’élevages avec accès à l’extérieur dans leurs approvisionnements.
Des fabricants comme Fleury Michon ou Pierre Martinet se sont également engagés à bannir le pire de l’élevage intensif des poulets.
LDC et ses marques Le Gaulois, Maître Coq et Marie accusent un retard important en continuant de soutenir les pires pratiques d’élevage et d’abattage des poulets élevés pour leur chair : fortes densités, sélection génétique poussée à l’extrême, litière gorgée d’ammoniac…
LDC, il est temps de faire reculer les pires pratiques d’élevage et d’abattage des poulets en vous engageant à respecter les critères de l’ECC pour toutes vos activités et à garantir une part de plein air pour vos marques.
Merci pour les animaux.