Dans cet élevage de Saint-Pierre-le-Vieux (71), des centaines de chevreaux sont élevés et engraissés pour le groupe LDC, connu pour ses marques Le Gaulois, Maître CoQ ou encore Marie.
Ces animaux vivent un enfer : séparés de leur mère quelques jours à peine après leur naissance, ils sont ensuite enfermés dans des boxes de taille réduite, sans accès à l’extérieur, pour être engraissés rapidement (en un mois environ).
La mortalité est importante, certains animaux sont à l’agonie, d’autres sont déjà morts et gisent au milieu de leurs congénères avant d’être entassés dans des bacs d’équarrissage.
Enfermés et entassés dans un bâtiment vétuste, les chevreaux ne peuvent pas exprimer leurs comportements naturels comme grimper, sauter, jouer…
Séparés de leur mère peu de temps après leur naissance, certains chevreaux n’ont pas eu le temps d’apprendre à téter et peinent à s’alimenter.
De nombreux chevreaux agonisent et meurent avant l’abattoir. Leurs cadavres gisent au sol ou sont jetés dans des bacs d’équarrissage.
Déjà … signatures !
22 juin 2022
L214 révèle une enquête sur des chevreaux élevés et engraissés de manière intensive pour le groupe LDC, le n°1 français du poulet.
L214 souhaite que notre société reconnaisse que les animaux ne sont pas des biens à notre disposition et que leurs intérêts méritent notre considération.
Déjà … signatures !
Derrière les publicités Le Gaulois, Maître Coq, ou Marie se cache une triste réalité : des poulets enfermés toute leur vie en bâtiment, sans accès à l’extérieur. Ils vivent à même leur litière, gorgée de déjections, sans qu’elle ne soit nettoyée ni changée. Déplumés et souvent malades, de nombreux poulets ne survivent pas à ces conditions d’élevage.
LDC, leader de la cruauté depuis 1970
Le n°1 français du poulet — le groupe LDC —, a une grande responsabilité dans les souffrances que subissent les poulets. Propriétaire des deux premières marques de volailles en France (Le Gaulois et Maître Coq) qui comptent pour 40% du marché, ainsi que de la principale marque de plats cuisinés (Marie), LDC élève et abat chaque année des centaines de millions de poulets.
Tous les acteurs de la grande distribution tels que Carrefour, Lidl, Intermarché ou encore Aldi se sont engagés à respecter les critères minimums définis par l’ECC (European Chicken Commitment) et à garantir une part minimale d’élevages avec accès à l’extérieur dans leurs approvisionnements.
Des fabricants comme Fleury Michon ou Pierre Martinet se sont également engagés à bannir le pire de l’élevage intensif des poulets.
LDC et ses marques Le Gaulois, Maître Coq et Marie accusent un retard important en continuant de soutenir les pires pratiques d’élevage et d’abattage des poulets élevés pour leur chair : fortes densités, sélection génétique poussée à l’extrême, litière gorgée d’ammoniac…
LDC, il est temps de faire reculer les pires pratiques d’élevage et d’abattage des poulets en vous engageant à respecter les critères de l’ECC pour toutes vos activités et à garantir une part de plein air pour vos marques.
Merci pour les animaux.