Chevaux d’Amérique : j’écris aux supermarchés

viande de cheval, le scandale continue

Notre enquête, filmée au plus près du calvaire de ces chevaux, a scandalisé plusieurs enseignes de la grande distribution aux Pays-Bas, en Belgique et en Suisse. Ces magasins ont suspendu leurs ventes de viande chevaline issue d’Amérique ou rompu leurs contrats les liant à leurs fournisseurs.

Mais en France ? Aucune grande surface n’a encore réagi ! Clients, citoyens, notre avis compte !

Contactez au moins l’un des services consommateurs des supermarchés et demandez-leur de cesser d’acheter la viande de ces chevaux maltraités.

Consulter le dossier, voir l’enquête filmée

La marche à suivre pour agir :

Copiez et collez la lettre ci-dessous, ou envoyez un texte personnel et courtois en cliquant sur les liens suivants :

Par internet 

Par courrier :

  • Écrire à Auchan :
    Service clients
    BP 682
    59656 Villeneuve d’Ascq Cedex
  • Écrire à Carrefour :
    1, rue Jean Mermoz
    ZAE Saint Guénault
    BP 75
    91002 Evry Cedex
  • Écrire à Casino :
    1 Esplanade de France
    42008 St Étienne Cedex 2
  • Écrire à CORA :
    Domaine de Beaubourg
    Rue du Chenil
    77435 Marne la Vallée
  • Écrire à Intermarché :
    24 rue Auguste Chabrières
    75737 Paris cedex 15
  • Écrire à Leclerc :
    SC GALEC
    26, quai Marcel Boyer
    94200 Ivry-sur-Seine
  • Écrire aux Supermarchés U :
    Centrale Nationale
    Parc Tertiaire SILIC
    72/92, avenue Robert Schuman
    94533 Rungis Cedex

Le courrier type

Madame, Monsieur,

Je fais partie des 118 000 signataires de la pétition de l’association L214 « Cessez de commercialiser de la viande de chevaux en provenance des Amériques » sur la plateforme Change.org.

L’enquête réalisée par L214 dans plusieurs pays d’Amérique montre la condition révoltante des chevaux destinés aux abattoirs exportant vers le marché français, mais révèle aussi une traçabilité douteuse et une absence de garanties sanitaires.
Malgré cette situation calamiteuse, votre enseigne continue de distribuer de la viande chevaline en provenance des pays concernés.

En Suisse et aux Pays-Bas, cette investigation a immédiatement été suivie d’engagements de la part de grandes surfaces. Plusieurs d’entre elles ont mené des audits auprès de fournisseurs dans ces pays, qui les ont conduits à rompre leurs contrats.

J’attends d’une enseigne comme la vôtre qu’elle défende les intérêts de ses clients et ne reste pas indifférente à la maltraitance des animaux. Je compte sur elle pour réagir en cessant de s’approvisionner auprès d’une filière qui ne présente ni garantie sanitaire, ni exigences de protection animale. 

Votre réponse retiendra toute mon attention.

Cordialement,