L214 publie de nouvelles images de l'abattoir Bigard de Venarey-les-Laumes.
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L214 diffuse de nouvelles images filmées à l'abattoir Bigard de Venarey-les-Laumes (Côte-d'Or). Le constat est alarmant : rien n'a changé pour les animaux.
Les actes effroyables en infraction avec la réglementation sont similaires à ceux révélés au mois d'avril dernier. Pratiquement toutes les vaches tuées souffrent et montrent des signes de sensibilité et de conscience évidents : redressement de la tête et du tronc, mouvements de tête orientée, clignement des yeux, mouvement volontaire des pattes, respiration rythmique.
Ces nouvelles images montrent l'incapacité du groupe Bigard et des services vétérinaires de l'État à faire respecter la réglementation pour limiter la souffrance des animaux.
Suite à la première enquête, cinq caméras de vidéosurveillance ont été installées à l’extérieur de l’abattoir, permettant de surveiller les allées et venues, plutôt que les pratiques de mise à mort...
Cette situation ne peut pas durer : soyons des milliers à demander au préfet de la Côte-d’Or la fermeture immédiate de cet abattoir !
Pétition adressée à Franck Robine, préfet de la Côte-d’Or.
(Pour signer la pétition, fermer ce cadre)
L214 publie de nouvelles images de l’abattoir Bigard de Venarey-les-Laumes (Côte-d’Or).
Après la première enquête de L214 filmée en mars dernier, et montrant de graves défaillances lors de l’abattage des animaux, le constat est toujours aussi alarmant : aucun changement n’est constaté pour les animaux.
Les premières révélations avaient pourtant déclenché un contrôle des services vétérinaires de la préfecture, un audit du référent national des abattoirs, et l’ouverture d’une enquête par le procureur de la République du tribunal judiciaire de Dijon.
Le mardi 28 mai, sur 132 animaux abattus dans la journée, 92 présentent des signes de conscience évidents alors qu’ils devraient être inconscients : des bovins égorgés sans étourdissement sont relâchés du box de saignée encore conscients et sensibles à la douleur, ils se débattent sur la table d’affalage ou une fois suspendus par une patte, et d’autres reprennent conscience après l’étourdissement au pistolet à tige perforante.
L’association dépose une nouvelle plainte contre l’abattoir pour mauvais traitements et demande au préfet de la Côte-d’Or la fermeture immédiate de l’abattoir.
L214 diffuse de nouvelles images filmées à l'abattoir Bigard de Venarey-les-Laumes (Côte-d'Or). Le constat est alarmant : rien n'a changé pour les animaux.
Les actes effroyables en infraction avec la réglementation sont similaires à ceux révélés au mois d'avril dernier. Pratiquement toutes les vaches tuées souffrent et montrent des signes de sensibilité et de conscience évidents : redressement de la tête et du tronc, mouvements de tête orientée, clignement des yeux, mouvement volontaire des pattes, respiration rythmique.
Ces nouvelles images montrent l'incapacité du groupe Bigard et des services vétérinaires de l'État à faire respecter la réglementation pour limiter la souffrance des animaux.
Suite à la première enquête, cinq caméras de vidéosurveillance ont été installées à l’extérieur de l’abattoir, permettant de surveiller les allées et venues, plutôt que les pratiques de mise à mort...
Cette situation ne peut pas durer : soyons des milliers à demander au préfet de la Côte-d’Or la fermeture immédiate de cet abattoir !
Pétition adressée à Franck Robine, préfet de la Côte-d’Or.
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L214 publie de nouvelles images de l’abattoir Bigard de Venarey-les-Laumes (Côte-d’Or).
Après la première enquête de L214 filmée en mars dernier, et montrant de graves défaillances lors de l’abattage des animaux, le constat est toujours aussi alarmant : aucun changement n’est constaté pour les animaux.
Les premières révélations avaient pourtant déclenché un contrôle des services vétérinaires de la préfecture, un audit du référent national des abattoirs, et l’ouverture d’une enquête par le procureur de la République du tribunal judiciaire de Dijon.
Le mardi 28 mai, sur 132 animaux abattus dans la journée, 92 présentent des signes de conscience évidents alors qu’ils devraient être inconscients : des bovins égorgés sans étourdissement sont relâchés du box de saignée encore conscients et sensibles à la douleur, ils se débattent sur la table d’affalage ou une fois suspendus par une patte, et d’autres reprennent conscience après l’étourdissement au pistolet à tige perforante.
L’association dépose une nouvelle plainte contre l’abattoir pour mauvais traitements et demande au préfet de la Côte-d’Or la fermeture immédiate de l’abattoir.
L214 publie de nouvelles images de l'abattoir Bigard de Venarey-les-Laumes.
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L214 dépose une nouvelle plainte pour mauvais traitements contre l'abattoir Bigard auprès du procureur du tribunal judiciaire de Dijon.
À l'issue de l'audit réalisé les lundi 15 et mardi 16 avril par le référent national des abattoirs, le préfet de la Côte-d'Or assure qu’ « il n'a pas été constaté d'anomalie de fonctionnement durant l'inspection du référent national ». Elle évoque tout de même « des manquements concernant la sécurisation du procédé d'abattage rituel ». Des propos énigmatiques, sans autre détail.
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L214 porte plainte contre l'État pour manquement à sa mission de contrôle vétérinaire.
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Le préfet de la Côte-d'Or et le ministère de l'Agriculture annoncent « une inspection approfondie des conditions d'abattage par le référent national des abattoirs ».
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Le préfet dépêche sur place le directeur départemental des services vétérinaires de la Côte-d'Or pour « évaluer la situation et la nécessité de mettre en œuvre des mesures correctives ». Des services pourtant déjà présents quotidiennement dans cet abattoir pour contrôler l’application de la réglementation relative à la protection animale.
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L214 rend publique une enquête filmée en mars 2024 sur l'abattoir Bigard de Venarey-les-Laumes.
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L214 porte plainte contre l'abattoir Bigard de Venarey-les-Laumes pour cruauté et sévices graves auprès du procureur du tribunal judiciaire de Dijon.